LES BELLES VOITURES DES ANNEES 1950les voitures du futur des années 50Cette incroyable vidéo réalisée par « Popular Mechanics » datant de 1948 sur la représentation des voitures du futur.
Moteur placé à l'arrière sur le bras oscillant doté d'une roue unique. 5 batteries 12V 250A (1 à l'avant, 4 sous la banquette biplace arrière). Carrosserie en aluminium (Forme goutte d'eau), bulle en Plexiglas. 3 roues, boîtier de direction et fusées de roues Peugeot. Autonomie 100 km à 70 km/h. Robert Lehideux, directeur de chez Renault, procure à Paul Arzens une plaque W qu'il utilise encore. Actuellement propulsée par un moteur à essence de 125 cm3 (06.1989) l'histoire de la Première voiture électrique
1881 Tilbury de Charles JEANTEAUD Charles Jeantaud (Limoges, 1840), installé aux Champs Elysées (ancienne maison Ehrler) Tilbury à 2 places, machine de Gramme alimentée par une vingtaine d'éléments Fulmen Il brûle à 100 mètres de l'atelier. 1887 1888 1889 1890 1892
1893 Le premier véhicule électrique, un train miniature.est construit par Thomas Davenport en 1834. En 1835, Sibrandus Stratingh met au point une voiture électrique expérimentale à échelle réduite .D'autres prototypes de voitures électriques ont probablement été construits avant..mais il faudra attendre l'amélioration du fonctionnement des batteries par Gaston Planté en 1865 puis Camille Faure en 1881 pour que les voitures électriques prennent réellement leur essor. Thomas Edison inspectant une voiture électrique en 1913 En novembre 1881, Gustave Trouvé présente une automobile électrique à l'Exposition internationale d'Électricité de Paris.À la fin du XIXe siècle, trois modes de propulsion se partagent le marché naissant de la voiture automobile : le moteur à combustion interne ou « moteur à essence », le moteur électrique et le moteur à vapeur. La voiture électrique connaît un succès certain dans la dernière décennie du XIXe siècle, tant en Europe – et notamment en France – qu'aux États-Unis.Il s'agit principalement de flottes de taxis pour le service urbain, en lieu et place des fiacres et autres voitures de louages à cheval. Ces voitures étaient munies de batteries au plomb pesant plusieurs centaines de kilogrammes qui étaient rechargées la nuit dans des stations spécialisées. Pour la course Paris-Bordeaux-Paris de 1895, une voiture électrique est sur la ligne de départ, conduite par Charles Jeantaud, carrossier. Pour cette course, il crée un break à six places aux roues en bois. Cette voiture de 7 chevaux embarque 38 accumulateurs Fulmen de 15 kg chacun. L’autonomie est d’une cinquantaine de kilomètres, à la moyenne de 24 à 30 km/h, ce qui l'oblige à disposer des batteries neuves tout au long du parcours. On compte également quelques véhicules marquants : c'est ainsi une voiture électrique, la Jamais Contente de l'ingénieur belge Camille Jenatzy, qui dépasse pour la première fois les 100 km/h en atteignant 105,88 km/h le 1er mai 1899.
En 1900, sur 4 192 véhicules fabriquées aux États-Unis, 1 575 étaient électriques, 936 à essence, et 1 681 à vapeurL'automobile à essence a cependant fini par supplanter la voiture électrique. On retrouve aujourd'hui, dans l'explication de cet échec, les analyses divergentes des déterministes et des constructivistesLes uns affirment que la technologie de la voiture à essence doit son succès à sa supériorité économique et technique : la voiture à essence offre plus d'autonomie, est moins difficile à entretenir], etc. Les autres, moins nombreux, critiquent cette explication et affirment que le destin de ces technologies repose essentiellement sur des facteurs contingents. C'est dans un article de 1955 que John B. Rae propose une explication déterministe à l'échec de l'automobile électrique. Celle-ci ne serait victime que de ses défauts intrinsèques en comparaison des avantages de la technologie des voitures à essence, et il était inéluctable que ces dernières s'imposent. Rae explique que le développement de l'automobile électrique au début du siècle fut « une excroissance parasite de l'industrie automobile, et que sa disparition ne fut regrettée que par ceux qui avaient eu la malencontreuse idée d'y investir leur argent. »Depuis 1955, la plupart des historiens ont accepté l'explication de Rae à l'exception de Rudi Volti qui fut le premier à remettre en question la thèse du déterminismePlusieurs sortes de raisons techniques et économiques étaient et sont encore avancées pour expliquer la supériorité intrinsèque de la voiture à essence.Cependant, au début des années 2000, un ouvrage de David A. Kirsch défend une perspective plus nuancée. Kirsch soutient en effet, en s'appuyant sur des travaux de sociologie et d'économie de l'innovation (notamment ceux de Paul A. David), que cette technologie aurait pu se développer dans des segments particuliers du marché automobile, notamment pour les flottes urbaines, si des facteurs contingents et sociaux ne s'y étaient pas opposés. D'autres auteursexpliquent que la voiture électrique a échoué à cause de problèmes culturels plutôt que techniques. illustration pour Première voiture électrique C'est la Baker Motor Vehicle Company qui a mis au point et commercialisé la toute première voiture électrique de l'histoire. C'était ... en 1899 ! La Baker Electrics disposait de batteries conçues par Thomas Edison ... Le premier prototype portait le doux nom de The Electrobat Automobile : elle a été développée à Philadelphie par l'ingénieur mécanicien Henry G. Morris et le chimiste Pedro G. Salom en 1894 ! Vitesse de pointe aux alentours de 32 Km/H et une autonomie de 40 kilomètres par cycle de batterie. Voici une publicité pour le modèle Baker Electric Queen Victoria datant LA VOITURE DU RETRO-FUTUR Voici une innovation technique de la voiture du futur, mais dans les années 1950 ! un concept exceptionnel pour l'époque.
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